Caen termine 16e si...
On ne va pas se mentir, cette probabilité tient lieu d’utopie. Alors que les Monégasques, actuels 16e, se déplaceront à Nice pour le derby de la Côte d’Azur, les Caennais devront combler un écart de goal-average de 7 buts, et miser en même temps sur un faux pas d’Amiens face à Guingamp.
Caen termine 17e si...
Malgré deux points de retard sur les Picards, le Stade Malherbe peut continuer de croire à un maintien direct. Mais pour cela, les Normands devront tout d’abord l’emporter face à Bordeaux, miser sur un résultat des Guingampais, avant de sortir leur calculette. Si Caen bat son adversaire du soir et qu’Amiens perd, la mise sera définitivement emportée. Dans le cas d’un match nul des Amiénois prennent le point du match nul, il faudrait que le SMC l’emporte par au moins deux buts d’écart. Mais là encore, tout ne serait pas joué, puisqu’il faudrait alors qu’Amiens ne marque pas plus de buts que les Bleu et rouge, le nombre de buts à l’extérieur étant à l’heure actuelle favorable aux Caennais. Les deux équipes seraient alors à égalité, à l’exception du nombre de buts à l’extérieur, jusqu’ici favorable aux Normands (13 contre 11). Le critère alors pris en compte serait… le septième cas déterminé par la LFP : « meilleure attaque à l’extérieur ». Vous nous suivez encore ? Qu’on se rassure, toutefois : en cas de victoire par trois buts d’écarts ou plus et de nul d’Amiens, le calcul serait plus simple… et favorable au Stade Malherbe.
Caen termine 18e si...
Le plus simple, pour assurer la place de barragiste, est évidemment de l’emporter face à Bordeaux. Dans ce cas, le jeu des probabilités serait réduit à son strict minimum et l’affaire serait pliée. En cas de match nul des Malherbistes, il faudrait que les Dijonnais, actuels 19eà deux points, l’emportent avec plus de six buts d’écart pour leur chiper la place de barragiste. En cas de défaite, Caen garderait sa position si Dijon ne parvenait pas à l’emporter face à Toulouse.
Caen termine 19e si...
… tout ne se passe pas comme on vient de vous le présenter. Mais ça, on n’ose pas y croire.
