Sur Facebook, vous avez posé vos questions à Mathieu DUHAMEL. On en a sélectionné 10. Le nouvel attaquant du SM Caen y répond.
Quels sont tes points forts et tes points faibles ? (Etienne Marivingt)
Parmi mes atouts, il y a la combativité, la puissance et la rapidité. Aussi, je ne suis pas maladroit devant le but. Ma faiblesse, c'est mon pied droit. Mais, comme me l'a dit le coach qui en a parlé avec mon ex-entraîneur à Metz (NDLR : BIJOTAT champion olympique comme lui), il va me le faire travailler pour progresser.
Comment s'est passée ton intégration au sein du groupe ? Connaissais-tu des joueurs de l'effectif ? (Kévin Guibout)
L'intégration s'est très bien déroulée, sauf que, malheureusement, j'ai été blessé et, lors des premiers jours, je bossais à l'écart du groupe. Je connaissais Jean CALVE, avec lequel j'ai évolué à l'INF Clairefontaine, Fayçal FAJR qui vient de Rouen et dont j'ai côtoyé les frères, et Jean-Jacques PIERRE contre lequel j'ai joué en Ligue 2.
Préfères-tu jouer en 4-4-2 ou seul en pointe ? (Eric Gaslard)
Ça m'est égal. Je m'adapte, je n'ai aucune préférence. A Metz, j'étais à la pointe du 4-2-3-1. Mais, si on doit évoluer à deux attaquants, ça ne me dérange absolument pas, du moment que celui qui évolue à mes côtés n'a pas mon profil pour qu'on soit complémentaires.
Quel est ton parcours ? (Martin Gastebois)
Je suis né à Mont-Saint-Aignan en Haute-Normandie. Ensuite, j'ai été formé à l'INF Clairefontaine puis à Rouen. Un peu plus tard, j'ai porté les maillots de Laval (National), Créteil (National), Troyes (L2) et Metz (L2).
Pourquoi as-tu choisi le Stade Malherbe ? (Corentin Gusciara)
Ce qui a fait la différence, c'est que les dirigeants ont manifesté une forte envie de me recruter. Sur un plan personnel, je suis très ambitieux et ce club l'est aussi. L'idée, c'est d'atteindre l'Elite avec Malherbe.
Quels sont tes objectifs cette saison ? (Mathilde Caron)
Je ne parle jamais d'objectif personnel. Ce qui m'intéresse, c'est que l'équipe soit la plus performante possible. Mon seul et unique moteur, c'est d'apporter ma pierre au collectif, c'est tout. La seule chose qui importe et qui compte, c'est l'équipe dans son ensemble.
Comment imagines-tu ton premier match avec le SMC ? (Olivier Barbenchon)
Ça devrait être ce week-end et ce ne sera pas simple... Ça fait plus de deux mois que je n'ai pas joué en match. Physiquement, je n'aurai pas 90 minutes dans les jambes, mais je donnerai tout ce que j'ai pour qu'on remporte cette rencontre face à Auxerre.
As-tu suivi le match contre le Gazélec ? Que retiens-tu de cette rencontre ? (Jason Lepelletier)
A la télé, on n'a pas vu grand-chose sur le multiplex... Un ami était sur place et me rapportait ce qui se passait. Faire un nul là-bas, c'est plutôt pas mal, c'est un bon point de pris. Ce qui est intéressant, c'est que l'équipe a été solide défensivement. En L2, c'est capital !
Serais-tu prêt à encadrer les jeunes sur le terrain et dans le vestiaire ? (Guillaume Fouchard)
Bien sûr. Ici, les jeunes sont bourrés de qualité et sont à l'écoute des conseils. Depuis le début de ma carrière, les coaches m'ont toujours dit que, sur le terrain, j'étais un leader naturel, j'emmenais les autres dans mon sillage. J'aime parler, guider mes coéquipiers. Je suis très compétiteur dans l'âme.
Que penses-tu d'une remontée cette année ? (Nicolas Ribot)
En début de saison, c'est toujours difficile à dire. C'est sur la durée qu'on verra quel est notre véritable niveau. Le mental, la solidarité, c'est essentiel pour avoir des ambitions en Ligue 2. L'exemple de Reims, la saison passée, doit nous inspirer. Grâce à une grosse solidarité et une forte cohésion de groupe, ils sont allés chercher la montée.
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